Rendez vous donné un samedi devant les grands magasins à une heure où il n’y pas de magasinage, c’est dans une rue déserte que nous nous retrouvons à 9h30, direction Noisy.
De Auber
à Noisy la grande, 20 minutes en RER, les scouts c’est bien on voit du pays et
on rencontre des mamans.
Une fois
sur place, le plan de François est parfait. Pas besoin de jeter des petites
pierres, on est sûre de nos pas. Autour d’un grand parc sans jeux pour enfants
et d’un bassin, on voit au loin le signe des écclés comme un phare dans cette
ville nouvelle, on est sur la bonne voie.
Le code,
bon, 3eme étage, on est accueilli par Ana, très sympa, visite de l’étage,
rencontre de nos futurs clients en plein travail et tableau paperboard, puis la
cuisine dans un dédale de couloirs.
Le
menu : quiche lorraine, salade composée, fromage, fruits, un peu court, on
décide de faire une tartine de rillettes pour chacun en amuse bouche.
Tout le
monde s’active, Ernest retourne les chaises, Bertille et Elsa mettent la table,
on enfile avec Sophie les tabliers.
Rillettes,
plateau de fromage, vinaigrette, rien de bien compliqué.
La
cuisine est ouverte, les écclés fignolent la déco, Elsa plie les serviettes,
Bertille écrit le menu.
12h30, 36
personnes arrivent puis 14h, 2eme service avec le grand bureau, 16 personnes
(dont Nadine qui nous embrasse), on mange entre temps, on lave, n’oublie pas
les quiches dans le four vapeur, descendons les poubelles, verre, tout venant,
cartons, chaque chose à sa place.
Les
responsables mangent vite, une demi heure et c’est plié.
Il est
15h et on a fini, un petit coup d’éponge partout.
Une fois
le perco rempli et les aliments filmés, c’est parti.
Un petit
T avec ana pendant que le grand conseil de toutes les régions se réunit
C’était
une bonne journée.
Les gens
prévenants et content des petites attentions des écclés, c’était vraiment bien.
On se
prend à rever pour la prochaine fois d’un groupe d’écclés motivés qui enchaine
samedi soir et dimanche midi en dormant sur place.
Pourquoi
pas ?
En tout
cas voilà de l’argent dans les caisses sans en faire des caisses.
Alexandra
Gaignard
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